•   

      

      

     

    Les Romains, après avoir conquis en 52 av J.- C. la tribu des Parisii installée sur l'île de la Cité, s'étendent peu à peu sur la rive gauche de la Seine sur

    l'actuelle montagne Ste-Geneviève qui tire son nom de celle qui galvanisa les habitants de Paris lors des invasions barbares.

      

    Les Romains y construisent des Thermes, un Forum, un Théâtre, un Amphithéâtre, un Aqueduc ainsi que des axes routiers (actuelle rue St-Jacques).

     

    Lutèce, la gallo-romaine

    Là ou l'Empire Romain prit domination, il imposa ses règles, d'évidence celles de la construction et de l'urbanisme.

    Les cités en Gaule correspondirent trait pour trait à la civilisation romaine : temples, théâtres, arènes, aqueducs, rues perpendiculaires, routes pavées, etc...

    Ce qui deviendra plus tard Paris est à l'origine une ville d'inspiration latine.

    Une conception pas si éloignée de la modernité contemporaine de l'urbanisme.

     

     

    ci-contre : "le frigidaire" (thermes de Cluny)

      

     

    Le développement de Lutèce s'est étendu en contre-fort de la Montagne Sainte Geneviève.

     

    Les protections édifiées vers 270 ne tiendront pas l'assaut des Germains et la ville connaîtra les premiers soubresauts venant du nord et de l'est.

     

    Entre-temps et depuis la fin du premier siècle, Lutécia prospère et développe mieux qu'ailleurs la Pax Romana.

     

    C'est en rive gauche que la cité va s'étendre et accueillir un population de

    l'ordre de 5 à 10.000 habitants.

     

    C'est une ville de très moyenne importance, pourtant elle aura sa monnaie et les romains fortunés aimeront y venir séjourner.

     

    C'est une ville paisible, avec une garnison militaire de petite importance. Pour mémoire seule une petite rébellion prendra place contre l'autorité romaine. Elle y fut mis fin par la volonté des habitants, plus que de la volonté de ceux chargés de protéger la ville.

     

     

    On peut encore découvrir aujourd'hui des vestiges de cette époque en

    visitant le Musée de Cluny où se trouvent les anciennes thermes romaines.

      


     

     

    Au XIIème siècle l'Université de Paris installée à l'origine au Cloître Notre-Dame s'établit sur la rive gauche et depuis ce quartier est marqué par une forte tradition universitaire.

      

    En 1253 Robert de Sorbon fonde un collège pour les pauvres qui accédera à, travers le temps, à une réputation internationale :

    la Sorbonne.

     

     

      

    Le rayonnement de l'Université va attirer des étudiants en grand nombre à tel point que celle-ci deviendra tout au long de son histoire un enjeu de pouvoir.

    Le quartier est ainsi dénommé car on y parle le latin qui sera jusqu'en 1793 une langue officielle.

    La tradition universitaire est encore vivante dans ce quartier, siège de la contestation estudiantine lors des événements de mai 1968.


     

      

    On peut y découvrir des monuments somp- tueux tels que le Panthéon qui domine, du haut de la montagne Ste-Geneviève, le tout Paris. Les touristes viennent flâner dans ce quartier très animé avec ses nombreux cafés, restaurants, cinémas et librairies.   

      

    Le quartier Latin se situe dans le Ve et le VIe arrondissement de Paris. Il va de Saint-Germain- des-Prés au jardin du Luxembourg.

      

    Il tire son nom de l'usage exclusif du latin dans les cours donnés par les écoles et universités médiévales.
     

                                                              Quartier Latin en 1588

     

    Le 12 mai 1588, au petit matin, le Quartier latin se couvre de barricades.

    Le peuple catholique de Paris se soulève contre son souverain légitime et le chasse de la capitale.

    Cette révolte d'un caractère inédit est la conséquence des haines entre catholiques et protestants, avivées par les interventions des souverains étrangers et par la crainte de voir un protestant succéder au roi Henri III de Valois.

     

     

     

     

    Ce quartier qui s'étend sur plusieurs arrondissements n'est pas réellement un quartier de Paris.

      

    Le cœur de son territoire reste le quartier de la Sorbonne (Ve arrondissement).
    C'est un quartier très fréquenté par les étudiants et professeurs, du fait de la présence de l'université de la Sorbonne, du Collège de France et de la bibliothèque Sainte-Geneviève mais aussi de la proximité de nombreux collèges et lycées parfois prestigieux et historiques (Louis-le-Grand, Henri-IV, Saint-Louis, Stanislas, Fénelon, Montaigne ...) ainsi que de plusieurs grandes écoles (Les Mines, les Beaux Arts, École normale supérieure, anciennement Polytechnique, etc.)

     

     

    Atelier Sicard - Ecole des Beaux Arts de Paris en 1917

    Les élèves femmes sont autour de leur professeur, barbu comme il se doit.

     

      

    Dans les années 1960 et particulièrement lors des événements de mai 68, ce quartier a été l'un des centres névralgiques des divers mouvements de contestation estudiantine.

      

     

     

                                    Eglise Saint Germain des Près. XIXè siècle

     

     

     

    Il est situé dans le Ve et VIe arrondissement de Paris. Sa délimitation commence à Saint-Germain des Prés pour finir au jardin du Luxembourg.

    Il se trouve sur la rive gauche de la Seine et est sous l’influence de la Sorbonne.


    L’appellation quartier latin provient des établissements scolaires et universitaires où le latin est enseigné aux élèves. Ils finissent par le parler couramment jusque dans les rues sur le chemin du retour.


    Ce quartier est surtout associé aux artistes et aux intellectuels.

    Intellectuels car dans les années 20, les universitaires, les artistes et les écrivains de la rive gauche se réunissaient dans le quartier Saint-Germain et parfois,

    on avait même la visite d'un romancier lors des réunions.

     

     

    Le côté artiste du quartier a été hérité indirectement des Allemands car lorsque ces derniers se sont retirés, la musique était vraiment en vogue.

    Les jeunes s’empressaient alors de suivre la tendance puis la musique Jazz est restée dans les mœurs.

    Le trompettiste français Boris Vian (1920-1959) était d'ailleurs un excellent musicien de jazz.

     

      

    C’est dans le quartier latin que l’on trouve le plus de monuments historiques et de musées réunis en un seul lieu, comme le musée du monde Arabe, le musée de Cluny, le muséum national d’histoire naturelle, le jardin des plantes et le Panthéon sur le mont Sainte Geneviève.

     

     

    Tous ces monuments font que le quartier est assaillie par les touristes. Les restaurants, les cafétérias et les différentes sortes de boutiques utiles aux touristes modifient également le paysage du quartier.

     

    L'histoire du quartier Latin

      

    En 52 avant J.C, les Romains vainquent les Parisis qui sont installés sur l’île et traversent la rive pour venir s’installer sur la rive gauche, sur le mont Geneviève.

      

    Ils y édifièrent des thermes, un théâtre, un amphithéâtre et un aqueduc.

      

    Ils y construirent aussi des routes qui deviendront la rue St Jacques.

      

    Les vestiges de leur passage, notamment les thermes, sont présents au musée de Cluny.

      

    Au Moyen-Age, des églises mérovingiennes s’installent sur la colline. Parmi elles se trouve l’église Sainte-Geneviève.

      

    Pour évoluer, la mise en place d’un système scolaire est une condition sine qua non.

      

    Au XVIIIe siècle, la ville bénéficie d’un réaménagement sous la direction du préfet Haussmann.

     

     

     

    Les vignes et les verdures disparaissent et laissant

    place au boulevard Saint-Michel, à la rue des écoles,

    la Rue Soufflot et la place du Panthéon.

      

    Plus tard, les plus prestigieuses écoles se trouvent tous à la Sorbonne, notamment, l’université de la Sorbonne, l’université Paris II Panthéon Assas, le campus de Jussieu,

    l’université de Paris III Sorbonne Nouvelle, le lycée Louis le Grand,

    le lycée Henri IV, les lycées Saint-Louis, Stanislas et Fénélon, Montaigne.

     

     

      

    On recense aussi plusieurs écoles spécialisées

    dans le quartier latin de la Sorbonne :

      

    l’Ecole des Mines,

    l’Ecole nationale de Chimie de Paris,

    les Beaux-Arts,

    l’Ecole Normale Supérieure,

    l’institut National d’Agronomie,

    l’institut Supérieur d’électronique de Paris

    et de nombreuses

    bibliothèques et librairies, spécialisées en

    littérature, poésie, histoire, politique et philosophie.

     

      

    Le quartier latin est alors la plus cultivée de toute la France,

    et on assiste en mai 1968 à une contestation estudiantine.

     

    Les points forts du quartier latin

      

      

    Au premier rang se trouve le Panthéon, la place des Grands Hommes.

      

    En effet, c’est là que tous les grands penseurs français comme Victor Hugo, Emile Zola,

    Jean Jacques Rousseau, Malraux et Voltaire sont enterrés.

      

    Ensuite, il y a la Fontaine de Médicis et le Jardin du Luxembourg avec ses somptueux parcs ornés de ravissantes statues.

     

    La fontaine de Médicis est actuellement le siège du Sénat.

     

    Il y a aussi le Jardin Des Plantes qui regroupe des jardins botaniques destinés à l’étude pour l’école de Botanique.

      

    Ensuite, c’est au tour des musées.

      

    Celui de Cluny a été bâti sur les ruines des thermes romains. Il y a aussi le musée de Jussieu qui renferme une impressionnante collection de minéraux.

     

     

     

     

    Les églises y sont nombreuses, le film Da VINCI Code

    a d'ailleurs été tourné à l’Eglise Saint-Sulpice.

     

    Devant l’église se trouve la Fontaine des Quatre Evêques.

      

      

    Le saviez-vous ?

     

    L’hôpital de la Salpêtrière était à l’origine une fabrique de poudre et d’armes à feu.

     

    Mais Louis XIV l'a plus tard transformé en hôpital pour les pauvres.



    Source Bloc.com :

      

    http://www.bloc.com/article/voyages-et-tourisme/tourisme-en-

    france/le-quartier-latin-a-paris-20080514.html#ixzz1XCXSRrJg

     

     

     

    Des niveaux antiques sous un couvent du XVIIe siècle

    Fouilles d'une maison romaine du IIe siècle de notre ère. Site archéologique campus Curie, Paris©  L. de Cargouët/Inrap
    Fouilles d'une maison romaine du IIe siècle de notre ère.
    Site archéologique campus Curie, Paris
    © L. de Cargouët/Inrap

      

      

    En 1632, dans l'ancienne rue du faubourg Saint-Jacques, le couvent de la Visitation est fondé sur des plans de François Mansart.

     

    Si la construction proprement dite reprend l'alignement de l'actuelle rue Saint-Jacques, son jardin s'étend beaucoup plus à l'Est

    jusqu'à l'actuelle rue Lhomond.

      

    Vendu par les visitandines en 1903, le couvent est démoli en 1910 au profit de l'Institut de Géographie.

      

    La fouille concerne une partie de l'aile orientale du cloître de ce couvent, en retrait de l'alignement de la rue Saint-Jacques.

      

    Ses fondations ont été retrouvées ainsi que l'épaisse couche de terre végétale de son jardin.

      

    Ce sont sous ces niveaux et protégés par eux que viennent d'être découverts les vestiges de la ville antique.

    Un quartier d'habitation

    Toute la parure monumentale de Lutèce s'étage sur le versant septentrional de la Montagne Sainte-Geneviève avec, en haut, le forum (rue Soufflot) et ses thermes (rue Gay-Lussac), puis le théâtre (rue Racine), les thermes du Collège de France (rue des Écoles), plus bas les thermes de Cluny (boulevard Saint-Germain), enfin plus à l'est, l'amphithéâtre (rue Monge).

     

    En revanche, au sud, le sommet du plateau est exclusivement occupé par des maisons.

    Une rue sous l'empereur Auguste

    Fouilles de différents dallages de l'ypocauste d'une maison romaine du IIe siècle de notre ère. Site archéologique campus Curie, Paris.©  L. de Cargouët/Inrap
    Fouilles de différents dallages de l'ypocauste d'une maison romaine du IIe siècle de notre ère.
    Site archéologique campus Curie, Paris.
    © L. de Cargouët/Inrap

    La fouille en cours révèle l'existence d'une rue romaine que l'on peut dater du règne d'Auguste (27 av. notre ère - 14 ap.).

     

    Sa création est précédée par une petite installation pionnière, toujours sous le règne d'Auguste, destinée sans doute à préparer le terrain avant la fondation de la ville romaine.

     

    L'un des objectifs de cette recherche est d'affiner la datation de cette toute première installation. Large de 6 m, la rue était bordée dès l'origine par des fossés. Par la suite elle a connu toute une série de recharges jusqu'à son abandon au IIIe siècle. Légèrement bombée, elle est constituée de cailloutis ou d'empierrements. Les aménagements successifs se traduisent aussi par la constitution de caniveaux et de trottoirs.

    Le long de cette rue des maisons sont constamment reconstruites sur la même orientation, dans le respect des parcelles d'origine, mais avec des dispositions internes différentes.

    Fouilles de maisons du Haut Empire romain de part et d'autre d'une même rue. Site archéologique campus Curie, Paris.©  L. de Cargouët/Inrap
    Fouilles de maisons du Haut Empire romain de part et d'autre d'une même rue.
    Site archéologique campus Curie, Paris.
    © L. de Cargouët/Inrap

    Les premières maisons sont constituées de murs en torchis armé par un clayonnage de bois et reposant sur des poutres sablières. Les sols sont en terre battue. La fouille devrait permettre de mieux connaître et de mieux dater ces premiers états architecturaux privés.

    À partir du deuxième tiers du Ier siècle de notre ère, l'usage de la maçonnerie se généralise progressivement. Au IIe siècle, des états plus sophistiqués apparaissent, notamment des éléments de thermes privés avec dallages et système de chauffage par le sol (hypocauste). Des éléments de peintures murales généralement effondrés sont également présents.

    L'abandon du quartier au IIIe siècle

    Dans le courant du IIIe siècle, ce quartier est progressivement abandonné, les moellons des maçonneries sont en partie récupérés, ne laissant souvent aux archéologues que des « fantômes » de murs, des sols et des objets de la vie quotidienne. L'occupation se cantonne alors autour des pôles monumentaux puis dans l'île de la Cité, protégée à partir du IVe siècle par un rempart.

    Ce vaste mouvement de recul de la ville est observable dans toute la Gaule. Il faudra attendre quatorze siècles et l'installation du couvent de la Visitation pour que la ville reconquière véritablement le terrain perdu.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • NAISSANCE D'UNE CAPITALE

     

     

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    Paris a été fondé au 3ème siècle avant J-C, sur l’île appelée depuis Ile de la Cité, par un groupe de celtes. Ces pêcheurs de la tribu des Parisii, poussés par l'émigration vers les rives de la Seine, se sont fixés là où la douceur et la fertilité du climat les ont retenus. Ces îles au milieu de la Seine leur semblaient admirablement situées pour en faire le chef-lieu, la capitale de leur petit domaine ; une capitale bien protégée des assaillants éventuels.

    Contrairement à ce que l’on peut imaginer de nos jours, ces îles étaient alors au nombre de sept, et elles étaient situées dans la partie de la Seine comprise aujourd'hui entre le pont d'Austerlitz et le pont des Arts. En les désignant par leur nom actuel, il y avait tout d'abord l'île Louviers (qui resta une île jusqu’en 1843 avant d’être reliée à la terre ferme, pour devenir ensuite le quai Henri IV), l'île Saint-Louis, qui était coupée en trois îlots qui furent progressivement réunis en une seule île, puis l'île de la Cité qui, elle aussi, fut le résultat de la réunification de trois petites îles séparées.

    On désigna sous le nom de Lutèce le groupe d’habitations construites sur ces îles, et plus particulièrement celles de l’île de la Cité. L’origine du nom Lutèce reste l’objet d’un débat sans fin car différentes étymologies du nom s’opposent. Pour les uns, Lutèce vient du mot celte ‘Loulouchezi’, qui signifie ‘habitation au milieu des eaux’, ou de ‘luth’ (eau) associé à ‘thouèze’ (milieu) et ‘y’ (demeure). D’autres affirment que le nom Lutèce provient de ‘Leug-tec’, mot celte qui signifie ‘belle pierre’. Mais comme les habitants de ces îles ne construisaient leurs maisons qu'en bois…
    Lutèce fut ensuite appelée ‘Lutetia’ par les Romains, et ‘Lucotecia’ par le géographe Ptolémée.

    En 52 av. J-C, la ville de Lutèce tombe aux mains d'un lieutenant de Jules César, le Proconsul romain Labiénus. Lutèce est alors appelée progressivement ‘la ville des Parisii’, ‘Civitas Parisiorum’, puis au 5ème siècle après J-C, ‘Paris’.

    Les Gaulois furent donc les premiers ‘parisiens’. La ville fut fortifiée et commença à s'étendre, tout d’abord sur la rive gauche de la Seine: c'est là que furent édifiés les thermes, dénommés aujourd'hui ‘Thermes de Cluny’ et des arènes, appelées encore aujourd’hui ‘arènes de Lutèce’.

    Lutèce va devenir un axe commercial essentiel pour l'Empire. Progressivement, les habitants de Lutèce se romanisent: au 3ème siècle, une fois les persécutions passées, ils deviennent citoyens romain et chrétien. Menacés par les invasions barbares, les Parisiens résistèrent en 451 après J-C, et sous l'inspiration de Sainte Geneviève, aux Huns d'Attila. Sainte Geneviève devint ainsi la patronne et la protectrice de la ville.

    Pendant le millénaire suivant, celui du Moyen Age (le Moyen Age est une période de l'histoire européenne qui dure de l'an 500 à l'an 1500 après J-C), Paris devient la capitale de la France, grâce à la contribution des dynasties successives de rois qui se succèdent au pouvoir. En 486, le roi Clovis prend Paris et en fait la capitale du Royaume des Francs en 508. Mais la ville est très rapidement délaissée et les habitants abandonnent la rive gauche où ne restent que des établissements religieux, comme la puissante abbaye de Saint-Germain-des-Prés. En 861 Paris tombe dans le patrimoine des Capétiens qui accèdent au trône de France avec Hugues Capet, en 987. D'abord capitale d'un tout petit royaume, Paris va s’étendre lentement, grâces aux Capétiens qui s'efforcent d'agrandir leur royaume en s'imposant aux autres grands seigneurs voisins.

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